Au début des années du XXe siècle, les conditions sociales, politiques et économiques apparues en Europe ont négativement influencé la dignité et la grandeur de l’homme. Les valeurs surlesquelles se construit l’humanité, les fondements et les conceptions traditionnelles ont été corrompus. Au long de l’histoire humaine, ce qui est toujours le but essentiel et surtout qui atteint au plus haut point au Siècle des Lumières “Comment l’homme rend heureux?” a laissé sa place à la recherche “Comment faire prendre conscience à l’homme qu’il peut fonder sa grandeur, sans religion, sur le néant qui l’écrase?” Dans la formation de l’univers intellectuel de Malraux, la philosophie nietzschéenne a joué un Grand role. Malraux, à la différence de ce philosophe allemand, possède un univers plus concret et plus réel de celui de Nietzsche, quoi que soit la condition humaine. Les personnages malruciens ont toujours nié la mort dans leurs combats et leurs actions. Malraux pense que l’homme perd sa dignité et sa grandeur par l’angoisse et la peur de la mort. Et il doit combattre son destin et trouver la voie du salut de l’homme. Pour Malraux, l’homme est un etre-pour la mort. Dans l’essai sur Malraux, on écrivait: “…..si au lieu de dire pour, on disait contre”. Ce “contre” va définir l’attitude de tous les héros malruciens.
The social, political, and economic conditions that emerged in Europe at the beginning of the 20th century negatively affected the social value and dignity of the individual and the values, foundations, and traditional pillars on which humanity was built collapsed. The idea of “How can a person be happy?” has always been the goal throughout human history, and this idea reached its highest level, especially in the Age of Enlightenment. However, over time, this thought was replaced by "How can people regain their lost dignity and greatness?" left in search. The effects of Nietzsche's philosophy are seen in the formation of Malraux's world of thought. But unlike Nietzsche, Malraux has adopted to stay within the limits of man, whatever the misery of the human condition. Malraux has drawn man not as a being who accepts death in all his actions and struggles, but as a being who is against death. Malraux thinks that man loses his greatness and dignity with the fear and anxiety he feels in the face of death, and that the important thing for the individual is to come to terms with his fate and try to find a way out of this environment. Malraux is aware that it is not possible for the individual to triumph over death, which is considered the reason for human existence.
